Les bouts d’aile ont été collés sur la partie centrale avec la clé d’aile (pour la solidité). Cela fait donc 2m07.
Sur l’aile, il y avait deux emplacements pour simuler les phares d’atterrissage. Je les ai élargis et j’y ai ajouté une parabole provenant d’une lampe de poche de chez « DECATRUC » et d’une LED haute luminosité.
Ils s’allumeront dès que je mettrai un cran de volet pour atterrir.
Le phare d’atterrissage gauche avec son cache transparent maintenu en place avec du scotch aluminium sur lequel j’ai simulé les têtes de vis.
Comme l’aile est assemblée, je me suis attaqué aux volets d’atterrissage en deux parties de chaque coté. J’y ai rajouté quelques fausses nervures (qui restent à peindre) pour garder l’aspect maquette. Un servo commande chaque grand volet, qui à son tour actionne le petit volet par le biais d’une corde à piano. (Pas facile l’explication).
Deux vis très visibles étaient prévues pour la fixation de l’aile sous le fuselage. J’ai revu cela en positionnant les deux fixations à l’intérieur des emplacements des volets.
Dessus e dessous de la demi-aile gauche :
L’entrée d’air du carburateur
Puits de train rentrant
Les puits de roue étant placés dans l’axe du fuselage et juste derrière l’échappement du moteur, il faut protéger tout ça. D’origine, dans le kit, il y avait bien des habillages en « plastoc » un peu moche et surtout plus adapté au train rentrant prévu.
On reprend la « doc » sur le Hurricane et on « rhabille » les puits de roue avec du carton plume 3mm (pour le poids) recouvert de scotch alu. Au milieu on réalise deux trappes pour avoir un accès de maintenance aux durites d’air et câblages divers. Avant de coller et fermer tout cela, on passera sur le bois susceptible d’être atteins par du carburant, un léger film de résine.
Rapidement, j’ai passé un voile de peinture vert sur l’ensemble du puits de roue et en grattant, par ci par là, la peinture, l’aluminium apparaîtra.
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